18 avril 2021 13:34

Année terminale

Qu’est-ce que l’année terminale?

Une année terminale est une année au cours de laquelle une personne décède, dans le cadre de la planification successorale et de la fiscalité. Le terme année terminale est utilisé dans la planification successorale et la fiscalité, car des règles fiscales spéciales et la gestion des revenus et des actifs peuvent s’appliquer au cours de la dernière année du contribuable.

Points clés à retenir

  • Une année terminale est l’année où une personne décède.
  • Ce terme est utilisé pour décrire les actions de planification successorale et fiscale.
  • Les impôts sur les successions sont également connus sous le nom de droits de succession ou de décès.

Comprendre l’année terminale

L’année terminale est considérée à des fins de gestion fiscale et successorale. Le défunt sera assujetti à des obligations fiscales sur tout revenu gagné ou réalisé au cours de l’année terminale, comme les années d’imposition précédentes. Certaines déductions, revenus et actifs peuvent bénéficier d’un traitement fiscal spécial au cours de l’année terminale, dans le cadre du processus d’imposition successorale. En outre, certains formulaires fiscaux doivent être déposés pour l’année terminale du défunt.



Au Canada et aux États-Unis, par exemple, le conjoint survivant, l’exécuteur testamentaire ou l’administrateur de la succession doit produire une déclaration finale au nom du défunt.

Taxes successorales

Aux États-Unis, l’ impôt sur les successions, aussi communément appelé impôt sur les successions ou impôt sur le décès, est un prélèvement financier sur la part d’un bénéficiaire d’une succession, généralement sur les actifs et autres héritages financiers reçus par les héritiers de la succession. Cet impôt n’est pas appliqué aux biens transférés à un conjoint survivant. Les héritiers ou bénéficiaires ne paient cette taxe que lorsque le montant de la succession dont ils héritent est supérieur à la limite d’exclusion établie par l’Internal Revenue Service (IRS).

L’application de l’impôt sur les successions varie et dépend principalement des lois fédérales des États-Unis, mais aussi en partie des lois sur les droits de succession ou de succession dans chaque État, et potentiellement du droit international. Chaque État est responsable de l’établissement du pourcentage auquel une succession est imposée au niveau de l’État, et les États peuvent offrir des exclusions supplémentaires au paiement des impôts sur les successions au-delà de la limite d’exclusion IRS.

Consideration spéciale

La liberté de transférer ou de léguer des biens d’une succession à un conjoint vivant est connue sous le nom de déduction conjugale illimitée et peut se faire sans aucun impôt sur les successions. Si le conjoint vivant désigné décède, cependant, les bénéficiaires de la succession restante seront probablement tenus de payer l’impôt sur les successions sur la valeur totale de la succession qui dépasse la limite d’exclusion.

Dans de nombreux cas, le taux effectif de l’impôt sur les successions aux États-Unis est nettement inférieur au taux légal fédéral le plus élevé de 37%.2 Les droits de succession ne sont dus que sur la partie de la succession qui dépasse la limite d’exclusion. Pour mettre cela en perspective, considérons une succession d’une valeur de 7 millions de dollars. Avec la limite d’exclusion fixée à 11,7 millions de dollars, il n’y aurait aucun impôt sur les successions à payer.

Même si quelqu’un qui est fortuné devait des impôts sur les successions, les propriétaires et les bénéficiaires de la succession, ou leurs avocats, trouvent continuellement des moyens nouveaux et créatifs de protéger une partie de la valeur résiduelle d’une succession contre les impôts en profitant de remises, de déductions et d’ échappatoires.