Bénéficiaire secondaire
Qu’est-ce qu’un bénéficiaire secondaire?
Un bénéficiaire secondaire, également appelé bénéficiaire subsidiaire, est une personne ou une entité qui hérite d’actifs en vertu d’un testament, d’une fiducie ou d’un compte (par exemple, une police d’assurance ou une rente) lorsque le bénéficiaire principal décède avant le constituant.
Un bénéficiaire secondaire ou subsidiaire n’hérite des biens que lorsqu’il remplit certaines conditions, telles que le décès du bénéficiaire principal ou la décision du bénéficiaire principal de renoncer à son héritage. Si un bénéficiaire principal ne peut être trouvé au moment du décès du constituant, les actifs pourraient passer au bénéficiaire secondaire. Les conditions et le temps nécessaires pour localiser le bénéficiaire principal varient en fonction du compte ou du document juridique régissant les actifs.
Points clés à retenir
- Un bénéficiaire secondaire ou subsidiaire est une personne ou une entité désignée pour hériter des actifs si le bénéficiaire principal décède avant le constituant.
- Dans certains cas, un bénéficiaire secondaire peut hériter des actifs si le bénéficiaire principal renonce à son héritage ou est frappé d’incapacité.
- Un bénéficiaire secondaire peut être nommé dans un testament, une fiducie, un compte de retraite ou de placement et d’autres comptes dans lesquels des actifs peuvent être hérités.
Comprendre les bénéficiaires secondaires
Les Parties peuvent également désigner des bénéficiaires secondaires pour les comptes de retraite ou d’autres véhicules d’investissement et de retraite; cela peut éviter l’homologation si le bénéficiaire principal ne peut pas hériter des actifs. Par exemple, lors de l’émission d’une police d’assurance, d’une rente, d’un plan d’épargne collégial 401 (k), 529, d’un compte d’épargne santé ( HSA ) ou d’une fiducie, le titulaire du compte nomme qui ou quoi (par exemple, une fiducie ou un organisme de bienfaisance) il veut recevoir les biens au décès. Parfois, les parties nommées peuvent recevoir les actifs si le titulaire du compte est frappé d’incapacité. Dans ces scénarios, il est souvent possible de nommer plus d’un bénéficiaire principal ou subsidiaire, en répartissant les pourcentages parmi ceux sélectionnés. De nombreuses politiques interdisent d’attribuer des montants car les valeurs peuvent changer au cours de la vie du compte et peuvent, par conséquent, créer des problèmes au décès.
La désignation des bénéficiaires peut être un processus sophistiqué. Par exemple, certains comptes autorisent les désignations par brassage, dans lesquelles les héritiers d’un bénéficiaire reçoivent les actifs répartis si le bénéficiaire est décédé avant le titulaire du compte.
Considérations particulières
Un testament est une déclaration juridiquement exécutoire qui détaille la manière dont une personne souhaite distribuer ses biens au décès. Bien que son format varie, la plupart suivent une présentation assez uniforme, commençant par une déclaration selon laquelle le testateur, qui doit être âgé d’au moins 18 ans ou marié, est majeur et fait sa volonté de son plein gré. De plus, le testament nomme un exécuteur testamentaire (la personne qui exécute ou exécute le testament), un tuteur pour les enfants mineurs et le (s) bénéficiaire (s). Par exemple, un testament pourrait détailler les comptes bancaires et répartir les biens entre plusieurs personnes. Les actifs détenus conjointement sont également fractionnés en conséquence. Dans un testament, il est essentiel d’être aussi clair et précis que possible pour éviter les contestations judiciaires et les dépenses connexes.
La plupart des États exigent la présence de témoins lors de l’exécution du testament. Dans l’Iowa, par exemple, un testament valide doit avoir deux témoins compétents, âgés d’au moins 16 ans. Ces personnes doivent signer le testament en présence à la fois du testateur et l’une de l’autre. De plus, le testateur doit attester verbalement devant les témoins qu’il s’agit de sa volonté.
Dans certains cas, un testament peut être prouvé. Cela peut se produire si, au moment de sa création, le testateur et les témoins signent des affidavits décrivant comment le testament a été exécuté. Dans tous les cas, il est recommandé de se faire assister par un avocat pour s’assurer que le testament est valide et que ses instructions sont exécutées comme vous le souhaitez.