Droits de cession
Que sont les droits de rachat?
Les droits de rachat font référence à la capacité d’annuler un contrat de rente ou d’assurance-vie en échange de sa valeur de rachat. La résiliation anticipée d’un tel contrat peut entraîner des frais de rachat, qui sont des frais facturés par la société lors de la résiliation, ainsi que des impôts sur le revenu.
Points clés à retenir
- Les droits de rachat permettent aux titulaires de contrats de rente ou d’assurance d’échanger le contrat contre l’émetteur contre sa valeur de rachat actuelle.
- Une fois le contrat résilié, il est considéré comme nul et non avenu à l’avenir.
- Beaucoup de ces produits ont une période de rachat spécifiée, pendant laquelle un rachat entraînera des frais ou des charges supplémentaires.
Comprendre les droits de rachat
Les droits de rachat sont le droit des titulaires de contrat d’annuler une police en échange de sa valeur de rachat. Avant d’exercer les droits de rachat d’un contrat, les titulaires de contrat doivent déterminer la valeur de rachat du contrat, les frais et les taxes qui seront encourus lors du rachat, et le montant net de liquidités résultant de l’annulation du contrat.
Dans le cas de l’assurance-vie, obtenir un règlement-vie en échange du contrat d’assurance-vie peut être une option plus lucrative que le rachat de la police. Les titulaires de contrat doivent également garder à l’esprit que s’ils choisissent de racheter un contrat similaire plus tard, le nouveau contrat peut être plus cher, et toutes les rentes et polices d’assurance-vie n’ont pas de droits de rachat.
Conséquences de la remise d’un contrat
Si un preneur d’assurance rachète un contrat d’assurance-vie, par exemple, la compagnie d’assurance-vie paie le montant du rachat au propriétaire de la police, cependant, la somme peut être imposable, affectant ainsi le revenu imposable de l’assuré. En général, les primes investies dans la police ne sont pas imposables. Cependant, les rendements de la police par la valeur de rachat ou le montant investi dans un compte de placement qui génère des rendements sont imposables. Le rachat d’une police mettra fin à la couverture d’assurance-vie et mettra fin à tous les droits et avenants du contrat.
Un autre élément que les assurés devraient considérer avant de racheter un contrat est de savoir si une telle action entraînerait ou non des frais de rachat. Les frais de rachat sont des frais prélevés sur un investisseur pour le retrait anticipé de fonds d’un contrat d’assurance ou de rente, ou pour l’annulation de l’accord.
Les frais de rachat peuvent s’appliquer pour diverses périodes, allant de 30 jours à 15 ans pour certains produits de rente et d’assurance. Les frais de rachat varient selon les compagnies d’assurance et entre les contrats de rente et d’assurance. Une charge de 10% prélevée sur les fonds versés au contrat de retrait au cours de la première année est une commission de rachat assez typique. Pour chaque année successive du contrat, les frais de rachat pourraient baisser d’un point de pourcentage, par exemple, donnant effectivement au rentier la possibilité de se retirer sans pénalité après 10 ans de contrat.
Même si les frais de rachat diminuent généralement avec le temps, des frais de rachat décroissants pourraient encore entraîner une pénalité plus importante si l’investissement a augmenté au fil du temps. Par exemple, des frais de 10% appliqués à 100 USD ne sont que de 10 USD, mais si ces 100 USD passent à 1 000 USD et que les frais tombent à 5%, les frais de rachat s’élèveront à 50 USD.
Exemple de droits de rachat
Tom a une police d’assurance-vie de 10 ans d’une valeur de rachat de 100 000 $ avec des primes annuelles de 5 000 $. Après deux ans de paiements de primes, Tom perd son emploi et décide de renoncer à sa police. Il arrête de payer ses primes et appelle la compagnie d’assurance pour l’informer qu’il a décidé de résilier le contrat. Ils lui envoient un formulaire de cession. Il remplit le formulaire et le leur renvoie. La compagnie d’assurance lui facture des frais de rachat de 10% et lui rembourse les primes qu’il a versées sur le compte ainsi que les rendements générés par son compte de valeur en espèces. Le montant retourné est imposé au taux de revenu ordinaire.