Unité des institutions financières et de la politique prudentielle (FIPP)
Qu’est-ce que l’Unité des institutions financières et de la politique prudentielle (FIPP)?
Le terme Unité des institutions financières et de la politique prudentielle (FIPP) fait référence à une division au sein du Centre d’études politiques européennes. Le groupe de réflexion, qui a été fondé en 1983 et est situé à Bruxelles, fournit aux décideurs politiques européens des recherches, des perspectives et des solutions. L’unité FIPP mène principalement des recherches en examinant quatre domaines de préoccupation financière. Les divisions individuelles au sein de l’unité sont constituées de leurs propres groupes de travail qui permettent au FIPP de travailler de manière efficace et efficiente.
Points clés à retenir
- L’unité Institutions financières et politique prudentielle est une division du Centre d’études politiques européennes.
- Le CEPS est un groupe de réflexion indépendant qui mène des recherches et fournit aux dirigeants de l’Union européenne des perspectives et des solutions politiques.
- L’unité FIPP étudie les questions liées au secteur des services financiers, aux marchés internes et au positionnement des places financières.
- Les divisions individuelles au sein de l’unité ont leurs propres groupes de travail et sont supervisées par un conseil d’administration indépendant.
- L’unité a publié ses rapports et les résultats de ses projets sur le site Web du CEPS.
Comprendre l’unité des institutions financières et de la politique prudentielle (FIPP)
Le Centre d’études politiques européennes a été créé en 1983 à Bruxelles. C’est un groupe de réflexion indépendant qui est en partenariat avec différents instituts mondiaux. L’organisation mène des recherches, fournissant aux économie, le secteur financier, les marchés et le commerce, les questions liées à l’énergie et au climat, l’éducation, la politique étrangère et les questions juridiques.
L’unité des institutions financières et de la politique prudentielle est l’une des divisions du CEPS et fait partie intégrante du programme de gestion de crise de l’ Union européenne (UE). Cette unité est chargée de mener des recherches dans les domaines suivants:
- Réglementation et surveillance des institutions financières et stabilité financière
- Étude de la taille, de la diversité et de l’innovation dans le secteur financier européen
- Marchés intérieurs des services financiers
- Positionnement de petits centres financiers régionaux et internationaux
Comme mentionné ci-dessus, les divisions de recherche individuelles au sein de l’unité ont leurs propres groupes de travail internes. Cela permet au FIPP de fonctionner de manière optimale avec un minimum de supervision de la part du CEPS.
Parce que le CEPS croit qu’il faut rester indépendant, il ne prend aucune position institutionnelle sur aucune des questions qu’il étudie. La recherche est menée sans parti pris ni influence extérieure et est supervisée par un conseil d’administration indépendant. À ce titre, l’organisation s’engage à:
- Atteindre des normes élevées d’excellence académique et maintenir une indépendance et une impartialité sans réserve
- Fournir un forum de discussion entre toutes les parties prenantes du processus politique européen
- Construire des réseaux collaboratifs de chercheurs, de décideurs et d’autres parties prenantes à travers l’Europe
Le financement du Centre d’études politiques européennes provient de parties prenantes, d’institutions, d’entreprises et de particuliers.
Considérations particulières
Le centre commente une variété de sujets liés à l’économie et aux marchés financiers qui peuvent être téléchargés à partir du site Web du CEPS. Par exemple, l’organisation a mené des recherches sur l’impact del’introduction de l’investissement socialement responsable (ISR) sur près d’un million d’employés en France. Selon l’étude, publiée en mars 2021, les investisseurs ont augmenté leur allocation en actionsde 7%, indiquant un intérêt accru pour le marché des actions.
Un autre rapport, publié en janvier 2021, se concentre sur la lutte contre le blanchiment d’argent (LBC) dans l’UE. L’organisation a constaté qu’environ 2% à 5% du produit intérieur brut (PIB)mondialest blanchi, dont environ 1% n’est jamais récupéré. Le rapport décrit certaines des solutions clés pour lutter contre le blanchiment d’argent, y compris les systèmes de suivi, une application plus stricte et la facilitation du partage transfrontière de données.
La division a également une série de projets en cours qu’elle entreprend. Le groupe de réflexion sur le rétablissement et la résilience se déroule du 1er décembre 2020 au 31 juillet 2021. Le projet implique six membres du personnel et est soutenu par des gouvernements, des universitaires et des institutions de l’UE. Il se concentre sur «la mise en œuvre de la facilité de relèvement et de résilience de l’UE, à travers les réglementations, orientations, plans nationaux et systèmes de suivi pertinents».