17 avril 2021 18:17

Définition de l’accord Buttonwood

Qu’est-ce qu’un accord Buttonwood?

L’ accord Buttonwood a été conclu en 1792 entre 24 courtiers et marchands de Wall Street à New York dans le but de créer une bourse. Selon la rumeur, il aurait eu lieu sous un arbre à boutons, l’accord a marqué les débuts de la communauté des investisseurs de Wall Street.



L’accord Buttonwood serait le précurseur de la Bourse de New York.

Comprendre l’accord Buttonwood

Les courtiers ont fondé le système américain sur les systèmes de négociation européens existants à l’époque. En fait, la pratique espagnole consistant à diviser le dollar en argent en huitièmes était en grande partie responsable de la prévalence des fractions lors de la description des valeurs boursières.

L’accord a créé la confiance dans le système selon lequel les courtiers et les commerçants ne négocieraient qu’entre eux tout en représentant les intérêts du public. En fermant le système, les participants seraient assurés qu’ils pourraient se faire confiance et que les paiements seraient honorés et que les investissements seraient légitimes.

L’Accord de Buttonwood était une réponse à la panique financière de 1792 où les engagements financiers n’étaient pas honorés et la crainte se répandait que les entreprises ne resteraient pas solvables. En conséquence, des ventes de panique se sont ensuivies jusqu’à ce que le gouvernement intervienne et apaise la panique. L’accord Buttonwood était un effort pour rétablir la confiance dans le marché, et on pense qu’il est le précurseur de la Bourse de New York.

Points clés à retenir

  • L’Accord Buttonwood a été conclu en 1792.
  • Il a été écrit par 24 courtiers et marchands de Wall Street à New York dans le but de créer une bourse.
  • L’accord a été signé sous un arbre Buttonwood, selon la tradition historique.
  • Le système américain dans le cadre de l’accord Buttonwood reposait sur les systèmes commerciaux européens existants de l’époque.
  • L’accord visait à créer la confiance dans le système par lequel les courtiers et les commerçants ne négocieraient qu’entre eux tout en représentant les intérêts du public.